[2008-2009] RCS - Ajaccio | Avant-match
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samhUn pic de forme
La rencontre entre le RCS et Ajaccio mettra aux prises ce dimanche (17 h) à la Meinau les deux meilleures équipes des cinq dernières journées de Ligue 2.
Invaincu depuis cinq rencontres, le Racing vient de récolter treize points sur quinze. Sur la même période, l'AC Ajaccio, qui restait sur deux nuls à Vannes (1-1) et contre Brest (1-1), en a engrangé onze, autant que Tours. Sur ces cinq dernières journées, Strasbourgeois et Ajacciens tutoient de concert les cimes de la L 2.
Sa quatrième victoire d'affilée, vendredi à Troyes (2-1), a permis au RCS de toucher le jackpot. Le président Philippe Ginestet a triplé les primes des joueurs après le hold-up réalisé au stade de l'Aube. Mathématiquement, les Bleus ont tiré un profit maximal de ce succès, mais aussi des défaites de Montpellier à Vannes (1-0) et d'Angers à domicile face à... Ajaccio (0-1). Les Montpelliérains, 4es, ont été rejetés à cinq longueurs du dauphin alsacien.
Il y a à peine plus d'un mois (le 23 février), l'entraîneur ajaccien José Pasqualetti rendait son tablier au sortir du nul contre Brest. L'épilogue d'une épouvantable série qui allait se prolonger la semaine suivante à Clermont (1-1) : deux victoires, six nuls et dix défaites en 18 journées. Pour douze malheureux points pris ! Une misère qui faisait des trois ex-Strasbourgeois Thierry Debes, Abou, Leyti N'Diaye (suspendu ce dimanche) et leurs partenaires la plus faible équipe de L2 sur la période, loin derrière le 19e, Reims (16 points).
Au moment où Pasqualetti passait la main à son adjoint Olivier Pantaloni, la marge de l'ACA sur le premier relégable n'était que de deux points. Les Ajacciens avaient même été 18es et relégables au soir de leur match en retard à Metz (défaite 3-2, 19ejournée), puis après la 22e journée (revers à domicile 0-2 contre Sedan).
Avec Pantaloni aux manettes, ils viennent donc d'emmagasiner onze points et sont aussi invaincus hors de leurs bases depuis quatre matches : nuls à Vannes et Clermont (1-1), puis victoires 1-0 chez le leader lensois et à Angers vendredi.
Ainsi remontés au onzième rang avec 36 points, les Corses ont sorti la tête de l'eau et se rapprochent du maintien. La zone rouge, délimitée par la 18e place de Châteauroux, est repoussée à six longueurs. Et ce qui aurait pu passer fin février pour un choc des extrêmes, sera dimanche le sommet du moment, au lendemain du sommet de l'Otan.
Jean-Marc Furlan, qui a suivi avec intérêt le cinquième match sans victoire du leader lensois contre Tours lundi à Bollaert (0-0), est en alerte. « À l'aller, chez un ACA pas au mieux (deux points sur les quatre journées précédentes), notre nul (1-1) avait été à mes yeux une contre-performance. Cette fois, les données ont changé. Ça confirme ce que j'ai toujours dit : ce n'est pas le calendrier, ni le classement de l'adversaire qui font la différence, mais l'état de forme. Regardez Lens qui traverse une passe difficile. Les gens du foot ont toujours pensé que malgré leur avance, une période comme celle-là arriverait aux Lensois. Il vaut souvent mieux affronter un premier ou un deuxième au creux de la vague qu'un dix-neuvième ou un vingtième en pleine bourre. »
Ajaccio n'est ni l'un ni l'autre, mais comme le RCS, il surfe depuis un mois sur une vague porteuse. Debes et les autres se verraient bien accrocher à leur tableau de chasse leur troisième cador en trois déplacements. Les Bleus sont prévenus.
L'Alsace -
Je pense qu'on aura la droit à ça dimanche :
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a condition que zoltan soit rentré
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Un programme difficile nous attend après cette rencontre avec deux déplacements.
Il faut prendre un maximum de points à la Meinau quelque soit le nom de l'adversaire. -
Citation: ce n'est pas le calendrier, ni le classement de l'adversaire qui font la différence, mais l'état de forme. Regardez Lens qui traverse une passe difficile.
Dix contre un qu'il ne déclarera pas du tout cela avant le prochain match à Lens. Il dira qu'il faut se méfier du réveil des gros...
C'est quand meme quelque chose que je n'aime pas chez JMF: son-selon moi- excessive prudence avant chaque match (de là à ce que son groupe manque d'ambition et de continuité, il n'y a qu'un pas) -
scuderiadu68 a écrit, le 2009-04-02 12:30:31 : a condition que zoltan soit rentré
La Hongrie c'est à même pas 2h d'avion, en se demerdant bien il pourrait même être à l'heure en rentrant en auto-stop.
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Il est télévisé la match ?
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Non il ne sera pas diffusé
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Paisley et Kébé ménagés
Gregory Paisley (genou gauche douloureux) et Boubacar Kébé (inflammation du genou gauche) ont été ménagés hier. Les deux joueurs reprendront l'entraînement normalement ce matin. Pour tenter d'éviter les encombrements liés au sommet de l'OTAN, les Bleus ont rendez-vous dès 8h à la Meinau
L'Alsace -
La petite équipe qui monte
Thierry Debès, ancien racingmen et actuel portier de l'AC Ajaccio, revient sur la saison mouvementée d'un club corse qui a connu le pire cet hiver. Mais qui a su redresser la tête pour devenir un véritable trouble-fête en cette fin de saison.
« On a eu deux mois terribles », lâche d'emblée Thierry Debès, comme pour effacer ce mauvais souvenir de sa mémoire. Le gardien alsacien de l'AC Ajaccio, comme ses coéquipiers, est conscient que l'équipe insulaire revient de loin. De très loin.
Car l'hiver a été rude en Corse. « Entre les mois de novembre et décembre, on a eu 14 blessés. Pour une équipe comme Ajaccio qui n'avait que 21 pros sous contrat avant la trêve, c'est dur », souligne Thierry Debès, qui a porté les couleurs du RCS entre 1996 et 2002.
« On a pris dix rouges, c'est très pénalisant »
L'Alsacien a d'ailleurs lui aussi fait partie du lot des malchanceux, puisqu'il a été blessé après un choc avec Grégory Thil, l'attaquant de Boulogne, qui l'a laissé sur le carreau un mois avec deux côtes cassées.
A ces blessures en série se sont ajoutés les cartons, qui ont lourdement pesé dans la balance . « Depuis le début de la saison, on a pris dix rouges alors que nos joueurs ne sont pas spécialement agressifs, souligne Debès, et ça aussi, c'est très pénalisant. »
« Vu notre effectif limité, quand sept ou huit titulaires ne sont pas là, c'est énorme. A un moment, à part Asuar et moi, personne n'avait la trentaine sur le terrain. Et même si nos jeunes sont bons, il leur faut du temps pour s'adapter au niveau. Du coup, dans les moments clés, on a souvent été trop naïfs », précise-t-il encore.
Résultat des courses : l'ACA a connu une série de dix matches sans victoire et pointait le 6 février dernier à une inquiétante 18e place au général.
José Pasqualetti a alors cédé sa place à Olivier Pantaloni, l'ancien préparateur physique. Le retour des blessés, combiné aux renforts arrivés au mercato - dont l'ancien strasbourgeois Abou -, ont fait le reste.
« Le retour de Cheick Diabaté (meilleur buteur du club avec onze réalisantions, ndlr) et des blessés nous a fait beaucoup de bien. Et actuellement, tout le monde fait les efforts nécessaires défensivement et ça paye, même si on a parfois tendance à être encore un peu trop joueurs », ajoute le gardien.
En un petit mois, l'AC Ajaccio est en tous cas passé du statut de moribond à celui de trouble-fête. « Pour l'instant, contre les gros, on a rarement été ridicules », résume pour sa part Thierry Debès.
Le premier « coup » a été réalisé le 13 mars dernier, à Lens, où l'ACA s'est imposé 1-0 à la surprise générale. Rebelote le week-end dernier, où Diabaté a inscrit le penalty de la victoire sur le terrain d'Angers.
« Ce match ne peut être que du bonus »
« Il faut aussi rajouter Metz à la liste, souligne malicieusement Debès, on menait 2-1 à vingt minutes de la fin et on prend deux buts idiots. Franchement, on n'aurait pas dû perdre là-bas. »
Remontés à la 11e place au classement général, avec 36 points dans la besace, les Corses ne sont plus qu'à deux victoires du maintien en L 2.
« Notre objectif était de prendre un point sur les deux déplacements à Angers et Strasbourg. Comme on a gagné à Angers, on vient l'esprit tranquille, ce match ne peut être que du bonus. Décrocher un point, ce serait déjà très bien », tranche Thierry Debès.
DNA -
Un leader dans le viseur
En attendant le déplacement de Lens à Tours lundi, le RCS pourrait profiter de la venue d'Ajaccio ce dimanche (17 h) pour prendre provisoirement la tête de la Ligue 2. Inimaginable voici cinq journées.
Pierre Ducrocq le déclarait dans ces colonnes voici une quinzaine de jours : « Même avec ses 6 points d'avance, Lens n'est à l'abri de rien. » Dans un championnat 2008-2009 de L 2 où les coups de moins bien des uns succèdent aux coups de mou des autres, la hiérarchie est effectivement vite remise en cause.
Au soir de la 25e journée il y a quatre matches le Racing accusait 11 points de retard sur son homonyme artésien lancé sur l'autoroute de l'accession. Quatre victoires plus tard, les Bleus sont revenus à deux longueurs des « Sang et Or » qui, dans l'intervalle, ont concédé trois nuls et une défaite. Les partenaires de l'ex-Strasbourgeois Sidi Yaya Keita restent sur 5 matches sans succès (4 nuls, 1 revers) pour seulement 4 points sur 15. Dans le même temps, le RCS en a raflé 13.
Du coup, alors que le RCL se déplace lundi à Amiens en clôture de la 30e journée, les Strasbourgeois peuvent profiter de la venue d'Ajaccio dimanche (17 h) à la Meinau pour retrouver un fauteuil de leader qu'ils n'ont plus occupé depuis leur carton contre Tours le 7 novembre (4-0). Pratiquement cinq mois (1) .
Même provisoire, cette prise de pouvoir aurait valeur de symbole à une semaine du choc Lens Strasbourg le 13 avril à Bollaert. « Un symbole ? Pas vraiment », réfute Jean-Marc Furlan, « Cette place de leader ne voudrait pas dire grand-chose. Tout comme nos cinq points d'avance sur le 4e ne sont rien si nous ne continuons pas à jouer avec compétence, régularité, qualité technique, mentale et physique. Mon inquiétude d'entraîneur, à 9 journées de la fin, c'est que notre forme morale et athlétique ne décline pas. »
« C'est un challenge, mais pas la priorité »
Il n'empêche. Jean-Alain Fanchone, qui a l'impétuosité de sa jeunesse, aspire à cette première place. « Si ce n'est contre Ajaccio, du moins à Bollaert. Ça va être kiffant pour moi de jouer à Lens pour la première fois, avec un tel enjeu. »
Attirés par le titre de champion de France de L 2, ses partenaires les plus chevronnés n'en perdent cependant pas de vue l'objectif prioritaire. Et n'oublient surtout pas de regarder derrière eux, vers un Montpellier qu'un succès sur Clermont ramènerait ce soir à deux longueurs. « Etre premiers dimanche signifierait d'abord que nous nous rapprochons de l'objectif », préfère penser Pierre Ducrocq, « Mais personne n'est dupe. Si nous perdions trois fois derrière, ça ne servirait à rien. J'avais dit il y a quelque temps que Lens ne finirait pas seul. Il y avait 11 points. Il n'y en a plus que deux quatre matches plus tard. Mais la première place ne serait que la cerise sur le gâteau. »
« Il y a un mois et demi, nous pensions davantage à revenir sur le podium qu'à ce fauteuil de leader », rappelle aussi Steven Pelé, « Le challenge du titre peut être excitant, mais ce n'est que le 2edu club. »
« Ce peut être une motivation supplémentaire contre Ajaccio, c'est vrai », enchaîne Guillaume Lacour, « Lens peut très bien se retrouver 3e dimanche soir. Ce serait un petit bonus, mais ce n'est pas la priorité. Nous sommes surtout centrés sur nos performances et les trois premières places, même si la première est toujours idéale. »
Le capitaine du RCS invite ainsi ses partenaires à une vigilance intacte. « J'espère que tous les joueurs ont encore en tête la période délicate que nous avons traversée et combien il a été difficile de nous en extraire. Quand on est dans une bonne passe, comme en ce moment, il faut redoubler d'efforts pour la prolonger. »
Avec une 5e victoire de rang, les Bleus prouveraient qu'ils ont reçu le message serait reçu cinq sur cinq.
(1) Sauf si Metz s'impose au même moment contre Brest avec une marge supérieure de deux buts à celle du RCS face à l'ACA.
L'Alsace -
Insulaires de rien
Après l'OTAN et les anti-OTAN, ce sont les Corses de l'AC Ajaccio qui débarquent ce dimanche à la Meinau. Mais qu'ont bien pu faire les pauvres Strasbourgeois pour mériter cela ?
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Je ne sais pas pourquoi, mais ce match m'inquiète plus que le déplacement troyen...
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Paisley forfait ?
MATINAL. - Les joueurs du Racing avaient rendez-vous à 8 h ce matin. Un horaire plutôt matinal dû aux complications liées à l'OTAN. « On s'est dit qu'à cette heure là, ça circulerait encore pour arriver au stade », a indiqué hier Jean-Marc Furlan.
Au programme de cette matinée un peu particulière : une séance vidéo, suivie d'un entraînement sur le terrain d'honneur, les joueurs étant bouclés dans l'enceinte du stade pour des raisons de sécurité.
PAISLEY FORFAIT ? - Grégory Paisley a écourté son entraînement mercredi matin en raison d'une douleur au genou et n'était pas présent hier matin. Le défenseur central est du coup très incertain pour la rencontre face à Ajaccio.
SZELESI PRÉSENT. - Zoltan Szelesi, absent hier matin à l'entraînement, devait rentrer dans la soirée après avoir disputé deux rencontres avec la sélection hongroise.
FEMMES : BILLETS DISPONIBLES. - Les billets gratuits destinés aux femmes peuvent être retirés au guichet dès aujourd'hui. Malgré les mesures de sécurité liées à l'OTAN, un guichet est ouvert.
DNA -
le-rcs-en-force a écrit, le 2009-04-03 08:51:35 :
MATINAL. - Les joueurs du Racing avaient rendez-vous à 8 h ce matin. Un horaire plutôt matinal dû aux complications liées à l'OTAN. « On s'est dit qu'à cette heure là, ça circulerait encore pour arriver au stade », a indiqué hier Jean-Marc Furlan.
Ils sont touchants de naïveté, ou alors ils n'ont aucune idée de l'heure à laquelle commence la journée de travail des vrais gens (ceux qui n'ont pas la chance de taper dans un ballon pour 30 plaques par mois). -
kibitz a écrit, le 2009-04-03 08:37:34 : Je ne sais pas pourquoi, mais ce match m'inquiète plus que le déplacement troyen...
Logiquement ce match devrait moins nous inquiétez car il est à domicile et que nos joueurs on le soutient je l'espère d'un publique qui viendra nombreux, le moral est au beau fixe.
Par contre comme l'avait dit quelqu'un le pire ennemi du racing c'est le racing lui même, un relâchement des joueurs ne m'étonnerait même pas! Mais au fond de moi je sais qu'ils vont joués sérieux pas vrai les gars?
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Ce message est une brève publiée sur le portail.
L'Ajaccien Stéphane Darbion (cuisse) est forfait pour le match contre le Racing.
Source: L'Alsace -
rikibellevie a écrit, le 2009-04-02 15:37:03 : Citation: ce n'est pas le calendrier, ni le classement de l'adversaire qui font la différence, mais l'état de forme. Regardez Lens qui traverse une passe difficile.
C'est quand meme quelque chose que je n'aime pas chez JMF: son-selon moi- excessive prudence avant chaque match (de là à ce que son groupe manque d'ambition et de continuité, il n'y a qu'un pas)
Ce que tu sembles ne pas encore avoir perçu, comme beaucoup d'autres d'ailleurs, c'est que Furlan a visiblement un discours très différent en interne, avec ses joueurs, qu'en public.
C'est clairement un choix tactique de type joueur de poker qui me plaît beaucoup, car ça ne donne pas d'informations aux adversaires (+)
Ceci étant, je ne vois pas ce qu'on peut trouver à redire à son approche de la fin de saison :Citation: nos cinq points d'avance sur le 4e ne sont rien si nous ne continuons pas à jouer avec compétence, régularité, qualité technique, mentale et physique. Mon inquiétude d'entraîneur, à 9 journées de la fin, c'est que notre forme morale et athlétique ne décline pas -
matteo a écrit, le 2009-04-03 09:32:19 : le-rcs-en-force a écrit, le 2009-04-03 08:51:35 :
MATINAL. - Les joueurs du Racing avaient rendez-vous à 8 h ce matin. Un horaire plutôt matinal dû aux complications liées à l'OTAN. « On s'est dit qu'à cette heure là, ça circulerait encore pour arriver au stade », a indiqué hier Jean-Marc Furlan.
Ils sont touchants de naïveté, ou alors ils n'ont aucune idée de l'heure à laquelle commence la journée de travail des vrais gens (ceux qui n'ont pas la chance de taper dans un ballon pour 30 plaques par mois).
Je pense qu'ils y croient sincèrement mais qu'ils vivent dans un autre monde.
A croire qu'ils arrêtent de murir / grandir en rentrant au centre de formation. -
kibitz a écrit, le 2009-04-03 08:37:34 : Je ne sais pas pourquoi, mais ce match m'inquiète plus que le déplacement troyen...
Bah ton inquiétude se comprend !
A Troyes on a gagné en jouant mal, contre un adversaire qui traverse une mauvaise passe.
Là, l'adversaire est dans une bonne série, donc ça va être une autre paire de manches.
Gageons qu'un peu d'inquiétude ne fasse pas de mal, car il ne faut pas nous reposer sur nos lauriers... -
Bah les équipes qui "jouent" nous réussissent justement plutôt bien, non ?
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Le match face à Angers devrait servir de modèle pour dimanche. Un pressing très haut pour empêcher nos adversaires de jouer, ça avait très bien fonctionné ce soir-là. Sinon, j'espère que Marcos nous sortira un gros match face à ces anciens coéquipiers... Et on reverra Debes et Abou !
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Quelqu'un a t-il du neuf sur l'affluence ?
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Tout ce que je sais c'est que dans l'EST
Dans tous genres confondus le racing se classe 9 ème sur 10
des meilleures ventes devant Indochine .
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Les places gratuites pour les femmes peuvent encore être prises le soir du match ?
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